Storie di conquiste e poi di ritorni indietro e poi di nuovo conquiste. La storia delle donne nella società italiana e nel mondo è un saliscendi nel constante impegno e vigilanza affinché i suoi diritti siano riconosciuti come condizione essenziale per il progresso della nostra società. In questo articolo, Francesca Vinciguerra ci propone una piccola storia del movimento femminista in Italia e delle sfide che ancora restano da vincere.

En 1929, Virginia Woolf, écartée des pelouses d’Oxford et de Cambridge, lieu de prédilection des esprits masculins, est invitée à retourner sur le droit chemin qui admettait la présence des légères promenades féminines. C’est avec cette anecdote que la poétesse ouvre le cycle de conférences Une chambre pour soi, qui deviendra ensuite l’un des premiers textes féministes du XXe siècle. Selon elle, un peu d’argent et une chambre rien que pour soi étaient les outils qui faisaient défaut aux femmes de son époque pour acquérir l’indépendance intellectuelle et la capacité d’inaugurer une tradition littéraire et de pensée consciente qui, avec le temps, aurait permis au beau sexe de s’exprimer librement, de donner du poids aux futilités et de la légèreté aux systèmes prédominants.
Depuis, on peut dire que les femmes ont suivi l’invitation de Virginia Woolf et ont ébranlé avec force cette frontière imaginaire qui les priait poliment de ne pas s’écarter des sentiers battus de la société.

Francesca Vinciguerra

Pour lire la totalité de l’article abonnez-vous à la revue

Plus de publications

Née en 1991 à Lanciano, Francesca Vinciguerra a récemment obtenu son diplôme en littératures française et européenne dans les universités de Turin et de Chambéry, avec un mémoire en littérature post-coloniale française. Depuis septembre 2016, elle vit à Toulouse, ville où elle a entrepris une collaboration avec la revue RADICI et a terminé un service civique avec l’association de musique baroque Ensemble baroque de Toulouse.