L’Italie au miroir de son cinéma (Volume 1)
35.00€
Du néorealisme à l’Italie des conflicts
sous la direction de Jean A. GILI
Date de parution : Février 2014
ISBN : 9791092161069
Nombre de pages : 387
Description
Description
Un livre consacré au cinéma italien
« Le cinéma italien est sans doute […] celui qui a le mieux témoigné d’un peuple et qui en a exprimé les affirmations exemplaires – que l’on pense au néoréalisme –, les déchirements, les souffrances et les raisons de croire en l’avenir. ».
Ce premier livre aborde :
- « Le néoréalisme » avec, entre autres, Roberto Rossellini, Giuseppe De Santis, Luchino Visconti, ou encore Totò et Anna Magnani.
- « L’Italie du boom », autour de Federico Fellini et Marcello Mastroianni, Giulietta Masina et Claudia Cardinale ou Sophia Loren, la comédie avec Dino Risi et Mario Monicelli et les débuts du cinéma politique porté par Francesco Rosi.
- « L’Italie des conflits » et un acteur emblématique, Gian Maria Volonté, mais aussi des réalisateurs comme Pier Paolo Pasolini, Marco Ferreri et Elio Petri, Michelangelo Antonioni ou encore le jeune Marco Bellocchio.
L'auteur
L'auteur
Agrégé d’histoire1, Jean Antoine Gili collabore à plusieurs revues de cinéma à partir du milieu des années 1960 (Cinéma, La Revue du cinéma, Écran2)… Spécialiste du cinéma italien, il écrit régulièrement pour la revue Positif (dont il rejoint la rédaction en 1983). À ce sujet, Ettore Scola, préfaçant son ouvrage consacré au cinéma italien, écrit : « Parmi les spécialistes étrangers du cinéma italien, Jean Gili est sûrement l’un des plus pointus, les mieux informés et les moins ennuyeux. » Il est vrai que le critique français s’est intéressé, sans préjugés, ni a priori, à tous les aspects, périodes et évolutions du cinéma italien. Des ouvrages comme L’Italie de Mussolini et son cinéma (1985) ou Le Cinéma italien à l’ombre des faisceaux (1990) défont des idées superficielles émises à propos du cinéma italien. Il a enseigné à l’université de Nice puis a soutenu sa thèse d’État en 1990 sous la direction de Pierre Milza à l’IEP de Paris. Il est professeur émérite à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne3.
Il a créé le Festival du cinéma italien d’Annecy et, avec Jean-Pierre Jeancolas, en 1984, l’Association française de recherches sur l’histoire du cinéma (AFRHC), qui édite la revue 1895.
Il a présidé, de 2001 à 2005, la commission scientifique du Patrimoine cinématographique (CNC).